L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Télégramme de Brest et de l'Ouest, France, page 1, le 13 septembre 1954.
Voir le dossier du cas.
|
Valenciennes, 12. -- UN HABITANT DE CAROUBLES [sic], PRES DE VALENCIENNES, M. MARIUS DEWILVE [sic], A VU UNE SOUCOUPE VOLANTE POSEE A TERRE ET SES DEUX OCCUPANTS.
QUI PLUS EST, IL EST ALLE LUI-MEME FAIRE PART A LA POLICE DE CETTE ETRANGE APPARITION...
M. DEWILVE, QUI EST OUVRIER AUX ATELIERS DU NORD DE LA FRANCE, A BLANC-MISSERON, ET HABITE AU PASSAGE A NIVEAU N° 79, A DECLARE QUE VENDDREDI SOIR AUX ALENTOURS DE 22 heures son attention avait été éveillée par les aboiements de son chien.
Il sortit immédiatement, muni de sa lampe électrique, et aperçccedil;ut sur la voie ferrée longeant son habitation, dans un endroit particulièrement désert, ce qui justifiait l'émoi de l'animal, une masse sombre, de forme ovale, qui pouvaient avoir 6 mètres de long et 3 mètres de hauteur.
Braquant sa lampe dans une autre direction, M. Dewilve vit deux hommes étranges et trapu dont la taille ne dépassait pas un mètre se dirigeant rapidement vers l'engin. Ces hommes avaient une courte tête sur laquelle les rayons de la lampe se seraient réfléchit comme sur des globes de verre.
Quelques instants plus tard, un carré de lumière intense apparut sur l'engin. Le témoin aurait alors fermé les yeux et lorsqu’il les rouvrit la lumière et les êtres étranges avaient disparu.
L'appareil, se balançccedil;ant légèrement, monta verticalement en dégageant de la fumée; arrivé à une dizaine de mètres du sol, la partie inférieure de l'engin rougit et celui-ci disparut rapidement.
La police de l'Air s'est rendu sur les lieux mais aucune trace n'a été relevée de la soucoupe ni de ses passagers.
