L'article ci-dessous est paru dans le quotidien La République de Seine-et-Marne, France, le 5 octobre 1954.
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Jeudi soir, vers 17 h. 30, deux cantonniers des Services officiels des Ponts et Chaussées de Coulommiers, qui se trouvaient sur la route, entre Meaux et Coulommiers, ont aperçu, soudain, à gauche de la route, dans un champ, au pied d'une haie de peupliers, un étrange engin au sol...
Il s'agissait, d'après la description qu'en on faits les deux cantonniers: M. Goujon Bernard, âgé de 30 ans, demeurant rue des Charmes, à Faremoutiers, et M. Pichet, demeurant à la Pommeuse, d'un appareil de forme ovale, semblant fait d'un métal brillant, semblable à l'aluminium, et d'un diamètre de 3 mètres.
"L'appareil, mesurant environ 2 m. 50 de haut, ont dit les témoins, reposait sur le sol à l'aide de trois béquilles. Il était surmonté d'une sorte de coupoles en matière plastique".
Deux autres personnes, qui circulaient sur la route, à bicyclette, aperçurent également l'engin, dont elles donnèrent une description précise.
M. Goujon s'avança en direction de la soucoupe... mais, à 150 mètres environ de l'engin, affirma-t-il, il fut pris d'un picotement électrique et ne put s'approcher davantage!...
"La soucoupe, affirment les témoins, s'est alors élevée dans le ciel, très lentement, puis disparut à vive allure".
D'après les observateurs officiels, il s'agirait d'une hallucination collective ou d'un "vaste bateau".